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Jouer au "Clapton" de Ducey est toujours une rude épreuve pour l'auteur-compositeur-interprète qui souhaite défendre son oeuvre et être écouté par des oreilles attentives.
En effet, il faut se battre contre les éléments, s'accrocher à la barre et garder le cap. Avec un peu de chance, on peut espérer à la fin, quelques compliments qui font toujours du bien par où ils passent.
Enfin voilà. Tout ça, Machun le savait car cétait quand même son troisième passage dans l'endroit.
La p'tite nouveauté, ce fut ce duo avec Stéphane (quel jolie prénom!) le patron, qui permit au Machun de partager un peu de cette gloire toute relative mais grandissante, au vue du nombre impressionnant de CD vendus ce soir là : 8 (si, si, j'vous assure, c'est pas mal sur une date).
Et vous, Gibson ou Fender?